(Presque) pire que pas assez de travail : trop de travail

Me revoilà au bureau ce lundi après une merveilleuse semaine en Espagne pour la conférence Metmeeting 2013 où j’ai eu le privilège de faire pas une mais DEUX interventions (oui, chers lecteurs, vous avez bien lu, DEUX !) dont une sur les possibilités de croissance pour un traducteur indépendant lorsque celui-ci devient victime de son succès. Donc c’était pour moi une pause studieuse, certes, mais une pause qui m’a permis de rentrer à la maison la tête pleine de nouvelles idées !

Dans le cadre d’une table ronde sur les bonnes pratiques « business », j’ai parlé de mon expérience personnelle des 3 dernières années lorsque je me suis associée avec deux collègues pour créer une « vraie » entreprise (« Is Bigger Really Better?« ). Mon intervention, que je résume ci-dessous, a suscité quelques commentaires et pistes très intéressants…:

Pour un traducteur indépendant il y n’y a pas douze mille solutions différentes pour gérer sa croissance. En gros, on peut :

  • Embaucher un ou plusieurs salariés
  • Créer une entreprise avec un ou plusieurs associés
  • Construire un réseau informel de collègues et sous-traiter à des collègues/mettre certains clients directement en relation avec un collègue
  • …et la « quatrième voie »…que vous découvrirez en fin de billet

Chacune des 3 (ou 4) solutions a ses avantages et ses inconvénients.

Lorsqu’on parle d’embaucher un salarié, le défi majeur est de trouver le bon profil (compétences et personnalité). Le risque est que, en cas de coup dur, votre salarié passe devant vous, chef d’entreprise, lorsqu’il s’agit de sortir la rémunération à la fin du mois, sans parler du risque de tomber sur une personne peu scrupuleuse qui va profiter du système en se mettant sans arrêt en congé maladie, se montrant peu productif au travail, ou en vous entraînant devant les…

Pour en savoir plus | lamarmitedutraducteur.com

Posted on juin 8, 2014 in Domaine de la traduction

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